Aller au contenu

La Turbie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Turbie
La Turbie
Vue de La Turbie.
Blason de La Turbie
Blason
La Turbie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Riviera française
Maire
Mandat
Jean-Jacques Raffaelle
2020-2026
Code postal 06320
Code commune 06150
Démographie
Gentilé Turbiasques
Population
municipale
3 015 hab. (2021 en évolution de −3,33 % par rapport à 2015)
Densité 406 hab./km2
Population
agglomération
69 134 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 47″ nord, 7° 24′ 06″ est
Altitude Min. 146 m
Max. 658 m
Superficie 7,42 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Menton-Monaco (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Monaco - Menton (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beausoleil
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Turbie
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Turbie
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Voir sur la carte topographique des Alpes-Maritimes
La Turbie
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Turbie

La Turbie (A Torbia en occitan vivaro-alpin[1]) est une commune française du département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est connue pour le Trophée d'Auguste, une ruine datant de la Rome antique.

Ses habitants sont appelés les Turbiasques.

Eugène Cais de Pierlas[2] propose une étymologie Tropea Augusti > Torpea > Torbea > Torbia. Le nom local en turbiasque (nom donné par les habitants au parler vivaro-alpin de La Turbie) est A Torbia ou A Turbia. A est l'article défini "la". Le français a adapté le nom occitan en "La Turbie"[1].

Le Trophée des Alpes

[modifier | modifier le code]
Le Trophée des Alpes.

Les Alpes sont pacifiées à la fin du Ier siècle av. J.-C. L'empereur Auguste impose l'autorité romaine aux peuples alpestres entre 25 et 13 av. J.-C.. Le trophée de La Turbie ou « Trophée des Alpes » est élevé en 6 av. J.-C., en l'honneur d'Auguste, pacificateur des Alpes. Il marque la frontière entre l'Italie et la Gaule. La province des Alpes-Maritimes est créée en 7 av. J.-C.. C'est une province militaire, placée directement sous la dépendance de l'empereur. La ville de Cemenelum (Cimiez), fondée en 13 av. J.-C., en devient la capitale.

La province est traversée par la via Julia Augusta, une voie romaine qui relie la Gaule cisalpine à la Gaule transalpine et qui joue un rôle militaire et commercial important. Elle passe par Vence, Cemenelum, La Turbie et Vintimille.

Le Moyen Âge

[modifier | modifier le code]

En 1191, l’Empereur romain germanique Henri VI a concédé la souveraineté de quelques ares du quartier de la Condamine et le rocher qui appartenaient à la seigneurie de La Turbie à Gênes : le futur Monaco. Le 10 juin 1215, un détachement de Gibelins mené par Foulques de Castello a commencé la construction d’une forteresse sur le rocher de Monaco. Cette date marque le début de l’histoire moderne de la principauté de Monaco.

Daniel Marquesani fut un familier du roi Robert ; il connut une ascension rapide puisque de simple notaire immigré à Nice à la fin du XIIIe siècle[3], il devint coseigneur de La Turbie (1329-1331) puis seigneur de Coaraze et Castellan à vie de Villefranche[4]. Raymond Marquesani succéda à son père comme castellan de Villefranche et son frère, Louis, hérita de la seigneurie de Coaraze. Le 14 septembre 1346, il acheta tout ce que le damoiseau Boniface Chabaudi, seigneur de Roquebrune possédait dans les territoires de Roquebrune, Palayson et Villepey[5]. Au XIIe siècle, le territoire de La Turbie dépend du consulat de Peille et fut détenue au XIIIe siècle pour moitié par Rostang et Féraud d'Eze, et pour l'autre moitié, par les Laugier qui cédèrent leur part en 1329 aux Marquesan. La seigneurie fut inféodée en 1630 à Horace Bonfiglio, général des finances, en 1640 à Jeacquemin Marenco, évêque de Nice, puis 1652 à la famille Blancardi[6].

La commune de La Turbie qui était constituée autrefois également des actuelles communes de Beausoleil et de Cap-d'Ail a été démembrée au début du XXe siècle. Seul l'ancien chef-lieu regroupé autour du Trophée des Alpes forme l'actuelle commune.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La Turbie se plaçait au point culminant de la Via Julia Augusta, qui longeait les côtes de la Ligurie et celles de la Côte d'Azur.

La commune est frontalière de la principauté de Monaco.

Communes limitrophes de La Turbie
La Trinité Peille Peille
Èze La Turbie Beausoleil
Èze Cap-d'Ail Monaco

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La commune est située à 450 m, juste au-dessus de Monaco, sur le promontoire de la Tête de Chien. La vue depuis la Tête de Chien s'étend de la côte italienne de Bordighera jusqu'à l'Esterel.

Le parc naturel de La Grande Corniche, situé sur le territoire des communes de La Trinité, Villefranche-sur-Mer, Èze et La Turbie, s'étend du Mont Leuze jusqu'au Mont Bataille[7].

Hydrographie et les eaux souterraines

[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[8] :

  • Vallon de Laguet.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 874 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 1,7 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peille », sur la commune de Peille à 6 km à vol d'oiseau[11], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 935,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −10,3 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Au , La Turbie est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Menton-Monaco (partie française), une agglomération internationale dont elle est une commune de la banlieue[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,2 %), zones urbanisées (33,7 %), forêts (13,3 %), mines, décharges et chantiers (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,1 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

Voies routières

[modifier | modifier le code]
Une ligne de chemin de fer à crémaillère (système Riggenbach) reliait Beausoleil à La Turbie de 1893 à 1932.

Commune desservie par l'Autoroute A8, dite la Provençale.

Péage Péage de la Turbie (système ouvert) + Sortie 57 La Turbie : La Turbie, Roquebrune-Cap-Martin (de et vers Nice)

Accès par Nice et Monaco, par D6007 puis D51.

Tunnel descendant Albert II. Les entrées du tunnel sont sur le territoire monégasque tandis que presque tout le tunnel est sur le territoire des communes de La Turbie et Cap-d'Ail en France[17].

Les trois Corniches, correspondant aux trois routes liant Nice à Menton. Les communes traversées sont Villefranche-sur-Mer, Èze, Cap-d'Ail, La Turbie, Beausoleil et Roquebrune-Cap-Martin.

La grande corniche correspond à la section de la route nationale 7[18].

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[22],[23].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Commune membre de la communauté d'agglomération de la Riviera Française.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1983 Jean Favre[24] SFIO puis
Gaulliste de gauche
Employé à Radio-Nice PTT, résistant
Conseiller général de Villefranche-sur-Mer (1945 → 1949)
1983 mars 2001 Michel Balland   Comptable
mars 2001 avril 2014[25] Nicolas Bassani UMPLR[26] Commerçant
avril 2014[27] En cours Jean-Jacques Raffaele UMPLR Moniteur d'auto-école
Vice-président de la CA de la Riviera française (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Eau et déchets

[modifier | modifier le code]

La Turbie dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice-Haliotis, d'une capacité de 650 000 Équivalent-habitants[30],[31].

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[32] :

  • Écoles maternelle et primaire[33],
  • Collèges à Beausoleil, Roquebrune-Cap-Martin, La Trinité,
  • Lycées à Monaco, Roquebrune-Cap-Martin.

Professionnels[34] et établissements de santé[35] :

  • Médecins,
  • Hôpitaux à Beausoleil, Cap-d'Ail, Gorbio,
  • Pharmacies à La Turbie, Beausoleil.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 3 015 habitants[Note 3], en évolution de −3,33 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
5765896507779049269658481 000
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 2061 5682 3382 4423 4343 0672 5002 1331 434
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 0271 2651 3781 2321 0221 1751 5221 7611 826
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
1 9692 6093 0213 1563 1553 1703 1462 9813 015
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,7 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2021, la commune comptait 1 468 hommes pour 1 547 femmes, soit un taux de 51,31 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,74 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[I 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,1 
8,6 
75-89 ans
8,9 
20,2 
60-74 ans
19,8 
23,8 
45-59 ans
25,5 
18,1 
30-44 ans
16,9 
12,8 
15-29 ans
12,0 
15,7 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2021 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,5 
75-89 ans
12,2 
17,6 
60-74 ans
18,7 
20,3 
45-59 ans
19,9 
18,1 
30-44 ans
17,5 
16,5 
15-29 ans
14,6 
16,8 
0-14 ans
14,4 

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Agriculture

[modifier | modifier le code]
  • Les "bandites"[41],[42] de la Turbie[43], aux temps anciens, constituaient non seulement des "droits", mais aussi un code de bon usage et de préservation du patrimoine rural[44].
  • Vins d'Appellation label européen IGP (Indication Géographique Protégée)[45], vignoble de montagne[46].
  • Restaurants[47],
  • Hôtels, chambres d'hôtes[48].
  • Commerces de proximité[49].
  • Fromagerie[50].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Le patrimoine architectural, mobilier et naturel de la commune est particulièrement riche[51],[52],[53].

Église Saint-Michel de La Turbie et le Trophée des Alpes.

Patrimoine civil :

Église Saint-Michel.
Chapelle Saint Jean Baptiste.

Patrimoine religieux :

Sites naturels :

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Albert Lebras, d'une veille famille turbiasque, est breveté pilote militaire en juillet 1937. Après avoir combattu en France, il rejoint l'Afrique du nord en 1942, puis intègre, en janvier 1944, le groupe des volontaires du régiment de chasse 2/30 Normandie-Niémen (URSS). En 1966, il sera directeur adjoint pour les champs de tir du Centre européen de Recherches Spatiales[73].
  • S.A.S le Prince Albert II de Monaco possède une propriété et une ferme sur les hauteurs de Roc-Agel[74],[75].
  • Rudolf Noureev y posséda une résidence jusqu'en 1993.
  • Jean-Pierre Davenet, commandant de bord de la sécurité civile. Il se sacrifiera le 19 juillet 1986, au feu du Perthus, à bord du DC 6 bombardier d’eau « Pélican 64 » du groupement aérien de la sécurité civile[réf. souhaitée].
  • Alex Dupont (1954-2020), ancien footballeur et entraîneur francais, est décédé et inhumé à la Turbie.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de La Turbie Blason
D’azur aux ruines du trophée d’Auguste d’argent[76].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Menton-Monaco (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de la Turbie (06150) », (consulté le ).
  7. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Alpes-Maritimes (06) », (consulté le ).
Autres sources
  1. a et b Laurent Revest. "Caractéristiques linguistiques de l’alpin (ou gavot) maritime du pays mentonnais et des vallées des Paillons (suivie d’une anthologie d’ethnotextes de toutes les communes de cette aire)" in Actes du 13e colloque des langues dialectales (2009). Monaco : 2009. Lire en ligne.
  2. Eugène Cais de Pierlas. Documents inédits sur les Grimaldi et Monaco, et leurs relations avec les ducs de Savoie suivis des statuts de Menton. Turin: Bocca Frères, 1885. Page 9.
  3. Venturini, Evolution, p.132
  4. Idem
  5. B1149, couverture intérieure
  6. Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, Principauté d'Orange, Comté de Nice, et Principauté de Monaco, par E. Baratier, G. Duby, E. Hildesheimer (Atlas Belfram, Paris, Armand Colin, 1969)
  7. Le parc de La Grande Corniche, pp.6 à 11
  8. L'eau dans la commune
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre La Turbie et Peille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Peille », sur la commune de Peille - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Peille », sur la commune de Peille - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Tunnel descendant Albert II
  18. Description de la grande Corniche sur le site de l'office du tourisme d'Eze
  19. Ligne 114 La Turbie-Monaco
  20. Lignes d'Azur
  21. Accéder à La Turbie
  22. Didacticiel de la règlementation parasismique
  23. Zonage administratif (ancien nouveau)
  24. Michel Brot, « FAVRE Jean : Né en 1909 ou 1910 ; employé à Radio-Nice-PTT, militant socialiste SFIO puis « gaulliste de gauche » des Alpes-Maritimes ; maire de La Turbie », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  25. Julie Baudin, « Municipales à La Turbie: le dernier conseil de Bassani (UMP) prend un petit air de campagne : Ce mardi soir, c'était le dernier conseil municipal de la mandature de Nicolas Bassani, le maire UMP sortant qui a décidé de ne pas se représenter. Et qui veut passer la main à son adjoint aux travaux, Jean-Jacques Raffaele », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « La Turbie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur acteurspublics.com, Acteurs publics (consulté le ).
  27. « Jean-Jacques Raffaele nouveau maire de La Turbie », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Raphaël Brun, « Municipales 2020 : Jean-Jacques Raffaele candidat à sa propre succession », Monaco hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de La Turbie depuis 2014, Jean-Jacques Raffaele sera candidat pour les élections municipales de mars 2020 ».
  29. J. D., « Installation ce lundi soir du nouveau conseil municipal de La Turbie : Le 16 mars, le maire Jean-Jacques Raffaele a été réélu avec 76,35 % des voix (soit 849 voix sur un total de 1.161 votants pour 2543 inscrits) », Monaco-Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Description de la station de Nice-Haliotis
  31. Portail d'information sur l'assainissement communal
  32. Établissements d'enseignements
  33. École élémentaire
  34. Médical et paramédical
  35. Professionnels et établissements de santé
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Paroisse Saint-Esprit, Saint-Michel
  41. Pratiques agro-pastorales : les droits de bandite dans l’ancien comté de Nice, Paul-Louis Malausséna, Bibliothèque de l'École des chartes. Année 1998 156-1 pp. 143-153
  42. « bandite », définition dans le dictionnaire Littré
  43. Ph. Casimir, Les bandites de la Turbie. Monaco : Imprimerie de Monaco, 1919.
  44. La vie d'une communauté rurale, pacages et bandites de la Turbie, par André Franco, 1986
  45. Vins de la Turbie
  46. Le vignoble des Alpes du Sud a pratiquement disparu après la crise phylloxérique et ne s’est maintenu que dans quelques rares secteurs
  47. Restaurants
  48. Hébergements
  49. Commerces de proximité
  50. Fromagerie
  51. Le patrimoine architectural et mobilier de la commune de La Turbie sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de Jean Gilletta, Marc Heller, Mas, Petit, Société des archives photographiques d'art et d'histoire, Médéric Mieusement, frères Séeberger, Georges Louis Arlaud, Gérard Roucaute, Sylvie Réol, Jean Marx, Thierry Bismuth, Gaëtan Congès, Henri Geist, archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine
  52. Inventaire des objets mobiliers de la commune
  53. La Turbie et son patrimoine
  54. Notice no PA00080897, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Ruines du Trophée d'Auguste : Les ruines : classement par avis de classement du 13 mai 1865. Site classé 08 01 1933 (Décret) et 26 07 1921 (arrêté). Site inscrit 18 02 1943 et 16 06 1944 (arrêté). 18 04 1914 (J.O.)
  55. Notice no PA00080898, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Fragments de la voie romaine et cinq bornes milliaires qui la jalonnent : classement par arrêté du 5 septembre 1922
  56. Le trophée des Alpes ou trophée d'Auguste à la Turbie
  57. Notice no PA00080892, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Enceinte du Moyen Âge (restes de l') : Protections au titre des MH : Porte fortifiée Est ; Portail du 13s, érigé à l'entrée de l'ancienne voie d'Italie ; Vestiges des remparts du 12s sis place Saint-Jean [porte, éléments de rempart, passage voûté, voie de Gaule et place de l'Église ; Porte de l'enceinte du 13s, dite Porte de l'Ouest ; Portail du réduit de la Tour du 13s, place Mitto ; Porte, sise rue Capouane
  58. Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du VXXe siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p. (ISBN 2-906700-09-6)
    Turbie (La) p. 266, Restes des enceintes des XIe et XIIIe siècles et Carte n°14 Provence-Alpes-Côte d'azur
  59. Voie romaine Julia-Augusta. La Turbie, Trophée d'Auguste
  60. Notice no PA00080889, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Borne milliaire du Premier Empire : inscription par arrêté du 15 mai 1926
  61. Notice no IA06000018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Fort de la Tête de Chien, ensemble fortifié dit place de Nice
  62. Notice no PA00080890, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Carrière romaine du Mont de Justice, classement par arrêté du 9 août 1944
  63. Le Comte Crotti et la Turbie
  64. Notice no PA00080893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Fontaine publique en face de la mairie : classement par arrêté du 10 mai 1943
  65. Lavoir aux fresques peintes
  66. Notice no IA06001021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture église paroissiale Saint-Michel, Classement par arrêté du 21 janvier 1938
  67. Notice no IA06001031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Chapelle Saint-Roch
  68. Notice no IA06001022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Chapelle de pénitents Saint-Jean-Baptiste
  69. La Turbie, Chapelles et oratoires : La chapelle Saint Roch ; Chapelle Sainte-Catherine ; Chapelle Saint-Bernard ; Église Saint-Michel ; Chapelle Saint-Esprit ; Chapelle de l'Assomption ; Chapelle Sainte Vierge de Piété ; Quartier Saint-Michel ; Chapelle ND de Trey ou de la Trêve ; Chapelle Saint-Joseph ; Chapelle Saint-Pierre ; Chapelle des Capucins ; Oratoire (de saint Barthélemy ?) ; Sainte Marie ; Chapelle Saint-Tibery appelée aussi Chapelle de la Turbie
  70. Monument aux morts
  71. Inauguration du monument aux morts
  72. Plaque commémorative église Saint-Michel
  73. « Albert Lebras », sur cieldegloire.fr (consulté le ) (d'après l'ouvrage Ceux du Normandie-Niemen, d'Yves Donjon, éditions Astoure)
  74. Albert de Monaco : "L'écologie commence chez soi". Article publié dans le magazine point de Vue n°3515, du 2 décembre 2015]
  75. Peille, Sites historiques Grimaldi de Monaco
  76. Dominique Cureau, « Riviéra française : La Turbie », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
pFad - Phonifier reborn

Pfad - The Proxy pFad of © 2024 Garber Painting. All rights reserved.

Note: This service is not intended for secure transactions such as banking, social media, email, or purchasing. Use at your own risk. We assume no liability whatsoever for broken pages.


Alternative Proxies:

Alternative Proxy

pFad Proxy

pFad v3 Proxy

pFad v4 Proxy