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Cesson

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Cesson
Cesson
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Olivier Chaplet (DVD)
2020-2026
Code postal 77240
Code commune 77067
Démographie
Gentilé Cessonnais
Population
municipale
11 140 hab. (2021 en évolution de +11,03 % par rapport à 2015)
Densité 1 596 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 48″ nord, 2° 36′ 19″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 86 m
Superficie 6,98 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Savigny-le-Temple
Législatives Onzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Cesson
Géolocalisation sur la carte : France
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Cesson
Liens
Site web ville-cesson.fr

Cesson est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Au dernier recensement de 2021, la commune comptait 11 140 habitants.

Géographie

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Localisation

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Cesson est située à 38,1 km à vol d'oiseau au sud-est de Paris[1] et à environ 5,5 km par la route[Note 1] au nord-ouest de Melun[2], préfecture du département.

Représentations cartographiques de la commune
Localisation de la commune de Cesson dans le département de Seine-et-Marne.
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie de 62 mètres à 86 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 79 mètres d'altitude (mairie)[3]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[4].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Cesson.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

  • le ru de Balory, long de 12,19 km[5], affluent de la Seine ;
    • le fossé 01 de la Fontaine Ronde, 3,43 km[6], et ;
    • le fossé 01 du Couleuvrain, 5,24 km[7], affluents du ru de Balory.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,27 km[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Seine-Port à 4 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 673,1 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Statistiques 1991-2020 et records SEINE-PORT (77) - alt : 76m, lat : 48°32'51"N, lon : 2°34'34"E
Records établis sur la période du 01-06-1949 au 27-11-2014
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 0,5 2,5 4,5 8,2 11 13,1 12,7 9,5 7 3,7 1,3 6,3
Température moyenne (°C) 4 4,5 7,6 10,5 14,3 17,3 19,5 19,3 15,6 11,8 7,2 4,2 11,3
Température maximale moyenne (°C) 7 8,5 12,8 16,4 20,3 23,6 25,9 25,8 21,6 16,5 10,7 7,1 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−20
17.01.1985
−17,3
14.02.1956
−12
01.03.05
−7
04.04.1973
−2
08.05.1997
1
04.06.01
3,4
08.07.1954
1,9
28.08.1974
−1,7
17.09.1971
−5,5
29.10.1997
−11
24.11.1998
−15,1
29.12.1964
−20
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17
13.01.1998
21,5
24.02.1990
27
25.03.1955
30,2
29.04.1955
33,6
28.05.1954
37,5
27.06.11
40,4
01.07.1952
40,5
12.08.03
34,2
16.09.1961
30,5
01.10.1985
23
01.11.14
18
04.12.1953
40,5
2003
Précipitations (mm) 52,3 46,9 48,4 50,9 63,7 60,1 54,6 53,4 52,3 60,9 60,3 69,3 673,1
Source : « Fiche 77447002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Cesson comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[15], les « Landes de Ste-Assise et bois de Boissise-la-Bertrand » (833,78 ha), couvrant 5 communes du département[16] , et un ZNIEFF de type 2[Note 3],[15], les « Bois et landes entre Seine-Port et Melun » (1 343,88 ha), couvrant 6 communes du département[17].

Au , Cesson est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 4], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[20]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 32 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[23] dont Saint-Leu (petit village de moins de 300 habitants, entre Cesson et Seine-Port).

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (42,8% ), forêts (27,7% ), terres arables (21,3% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,2 %)[24].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification

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La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Sénart dont l'étude a été engagée en 2013, portée par le syndicat Mixte de Sénart Val de Seine (SYMSEVAS)[27].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[28].

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 4 213 dont 76,9 % de maisons et 21,8 % d'appartements[Note 8].

Parmi ces logements, 95,2 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 74,6 % contre 23,9 % de locataires[29] dont, 9,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,5 % logés gratuitement.

Morphologie urbaine

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Cesson-la-forêt

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Logements sociaux de Cesson-la-forêt.

Cesson-la-forêt compose l'ensemble des quartiers sud de la ville à travers la boucle que forme l'avenue de la Zibeline. C'est dans cet ensemble que se trouvent le collège du Grand-Parc, le centre commercial Intermarché SUPER ainsi qu'une boulangerie.

Cesson-Bourg

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Il s'agit du centre-ville de Cesson où se trouvent la mairie et l'essentiel des commerces de la ville.

Le Clos-verneau

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Attenant au centre de Cesson, le quartier du Clos-verneau construit à la fin des années 1960 comprend deux types de constructions : des maisons individuelles et des groupes de deux maisons mitoyennes avec des jardins relativement grands.

Cesson-Gare

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Comprenant quelques habitations à ses alentours, la gare de Cesson est desservie par les trains de la ligne D du RER. La gare dispose d'un parking gratuit d'une capacité de 300 à 500 places.

Route de Montbréau

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La construction de 49 logements sociaux BBC (bâtiment basse consommation) dans ce quartier à la limite de Savigny-le-Temple a été réalisée en avril 2012[30].

Cesson-Centre

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Vue sur le quartier de la Plaine-du-Moulin-à-Vent

On y trouve un urbanisme récent qui se développe en lieu et place d'une zone agricole et où la population augmente de façon significative.

Le nom de la localité est mentionné sous la forme Seccon en 1233[31] ; Ceson en 1253[31] ; Cessonnum en 1285[32] ; Cessons au XIVe siècle[33] ; Saint Martin de Sesson en 1473[34] ; Ceisson en 1607[35],[36].

Cesson vient, soit du latin cessonum, le « successeur »[37] ; soit du briard cese, la « cerise ».

L’évêque Guillaume de Champagne transféra la qualité de paroisse à l'église Saint-Martin de Cesson lorsqu'il autorisa la création d'un prieuré à Saint-Leu en 1176. En 1285, le comte Guillaume de Cesson et sa femme firent don d'un de leurs petits-fiefs aux bénédictins de Saint-Père de Melun. L'Ancien Régime ne semble pas avoir marqué durablement le bourg et ses hameaux de Saint-Leu et Verneau. En 1720, Jean-Baptiste Plucq, baron de Saint-Port, acquiert les terres de Pouilly de la famille de Vaudetar qu'elle possède depuis 420 ans. Il achète en outre les terres de Verneau, Saint-Leu, Bréviande, Cesson et Boissise[38].

Après la Révolution française, les paroisses de Cesson et de Vert-Saint-Denis fusionnent en 1809, suivie, 20 ans plus tard, de la démolition de l'église d'intercommunalité : avec cette paroisse unique, les enfants des deux villages fréquentèrent la même école, tandis que les deux communes achetaient ensemble un terrain où enterrer leurs morts. Village rural, vivant autour de ses fermes depuis des siècles, c'est l'ouverture de la station de chemin de fer sur son territoire qui amènera à partir de 1855, une extension du bourg du côté de la gare, tandis que de riches propriétaires préféreront faire construire leurs villas du côté opposé. Pour l'année 1866, l'almanach historique de Seine-et-Marne note 449 habitants pour Cesson et 720 pour Vert-Saint-Denis : les citoyens ont élu à leur tête les deux plus importants fermiers et propriétaires terriens de leur localité respective.

La tuilerie et le moulin de Cesson doivent cesser leur activité après la guerre de 1870, tout comme les distilleries et l'usine de peignage de lin de Vert-Saint-Denis. En 1909, Henri Geoffroy, riche fermier de la région devient le maire de Cesson. Dès son arrivée, il enrichit la ville grâce à ses relations étroites avec le maire de Paris. On lui doit notamment l'avenue de la Gare. Il est enterré au cimetière de Saint-Germain-Laxis.

alt= Monument aux morts de la guerre 1914-1918 de Cesson
Monument aux morts de la guerre 1914-1918 de Cesson.

Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale est érigé devant la mairie en 1922[39].

L'éclairage électrique, voté dès 1894, est mis en place entre 1922 et 1956.

À partir des années 1960, Cesson bénéficiant de sa situation sur la ligne SNCF allant à Paris, connaîtra plusieurs programmes de constructions de maisons individuelles qui feront passer sa population d'un peu plus d'un millier d'habitants en 1962 à plus de 8500 en 2010.

Ainsi, en 1966-1967 est construit le Grand Village sur les territoires de Cesson et Vert-Saint-Denis, ayant pour modèle les cités-jardins anglaises. Il s’organise autour du ru de Balory. En 1967 est lancé le nouveau village, qui suit la même inspiration. D'autres quartiers naîtront avec chacun un style différent, comme le Clos Verneau près du stade, Cesson-la-forêt, le quartier de la poste, et récemment dans les années 2000 la Plaine-du-Moulin-à-Vent.

Voies de communications et transports

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Transport ferroviaire

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La gare de Cesson est desservie par la ligne D du RER d'Île-de-France.

Transports en commun

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Cesson est desservie par le réseau de bus de Sénart avec un total de 13 lignes :

  • la ligne 31 relie la gare de Cesson à l'arrêt Point de vue du Carré Sénart dans la Commune de Lieusaint ;
  • la ligne 35 relie la gare de Savigny-le-Temple - Nandy à la gare de Cesson ;
  • la ligne 36 relie la gare de Savigny-le-Temple - Nandy à la gare de Cesson ;
  • la ligne 41 relie la gare de Cesson au quartier de Cesson la forêt ;
  • la ligne 42 relie la gare de Cesson au quartier des Hautes Billes à Vert-Saint-Denis ;
  • la ligne 43 relie la gare de Cesson au quartier des Hautes Billes à Vert-Saint-Denis ;
  • la ligne 61A relie à l'arrêt Carré Trait d'Union de Lieusaint à l'arrêt Gambetta de Melun en passant par la gare de Cesson ;
  • la ligne 62A relie Savigny-le-Temple à Voisenon en passant par le Collège Grand Parc de Cesson ;
  • la ligne 62B relie la médiathèque de Savigny-le-Temple au Collège Nazareth de Voisenon en passant par la gare de Cesson ;
  • la ligne 63 relie la gare de Savigny-le-Temple au Lycée Sonia Delaunay de Cesson en passant par la gare la gare Cesson ;
  • la ligne Citalien relie le Sénart-Centre de Lieusaint à la Place Saint-Jean de Melun et dessert le centre commercial de Boissénart.

Politique et administration

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Situation administrative

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La commune fait partie de l'arrondissement de Melun, du canton de Savigny-Le-Temple et de la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart.

Liste des maires

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Dix-huit maires se sont succédé à Cesson depuis la fin de la fin de la Révolution.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
an IX 1808 M. Le Tellier    
1808 1816 M. Rossignol    
1816 1827 M. Bardelle    
1827 1848 M. Guittard    
1848 1891 M. Rabourdin    
1891 1906 M. Martin    
1906 1909 M. Firmin Mercier    
1909 1927 M. Geoffroy    
1928 1930 M. Janisset    
1931 1944 M. Piollet    
1944 1952 M. Creuzet    
1952 1965 M. Michaud    
1965 1971 M. Robert    
1971 1971 M. Deplagne    
1971 1992 Albert Bendelé DVD  
1992 mars 2008 Christian Didion DVD Ingénieur
mars 2008 7 avril 2010 Jean-Marc Brûlé LV Cadre supérieur
Démissionnaire
juillet 2010 En cours
(au 7 juillet 2020)
Olivier Chaplet DVD Cadre commercial
Élu lors d'un scrutin anticipé des suites de la démission de plus d'un tiers des élus du conseil municipal
Réélu en 2014 et 2020

Instances judiciaires et administratives

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Cesson relève du tribunal d'instance de Melun, du tribunal de grande instance de Melun, de la cour d'appel de Paris, du tribunal pour enfants de Melun, du conseil de prud'hommes de Melun, du tribunal de commerce de Melun, du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d'appel de Paris[40].

Au , Cesson est jumelée avec[41] :

Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [42],[43].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la commune de Cesson gère le service d’assainissement collectif (collecte et ) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[44].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[45]. Le assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[44],[46].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [44],[47].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[48],[Note 10].

En 2021, la commune comptait 11 140 habitants[Note 11], en évolution de +11,03 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
250299356289349372372368369
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
398438449402393354356428517
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
522560656624725924833840989
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2011
1 0732 2834 9487 5227 8787 6997 5657 4199 092
2016 2021 - - - - - - -
10 23811 140-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Cesson est située dans l'académie de Créteil.

Établissements scolaires

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Elle administre quatre écoles maternelles et cinq écoles élémentaires communales et dispose d'une école élémentaire privée[51].

Le département gère un collège : le collège Le Grand-Parc[52] en région Île-de-France, ainsi que le lycée général et technologique Sonia-Delaunay, comprenant une section d'enseignement professionnel[53].

Manifestations culturelles et festivités

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Le club de Football de Cesson est né d'une une entente avec la commune de Vert-Saint-Denis. Son équipe senior évolue actuellement au niveau régional, en R2(ex dsr) soit la 7e division nationale

Revenus de la population et fiscalité

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En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 3 902 (dont 70 % imposés), représentant 10 583 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 090 euros[54], le 1er décile[Note 12] étant de 15 330 euros avec un rapport interdécile de 2,7[Note 13].

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 2 980, occupant 4 784 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,5 % contre un taux de chômage de 6,8 %. Les 21,7 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,7 % de retraités ou préretraités et 4,4 % pour les autres inactifs[55].

Entreprises et commerces

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En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 525 dont 20 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 54 dans la construction, 150 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 30 dans l’Information et communication, 12 dans les activités financières et d'assurance, 15 dans les activités immobilières, 98 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 80 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 66 étaient relatifs aux autres activités de services[56].

En 2020, 111 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 83 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[57].

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Cesson est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 14] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[58].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[59]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 129 ha en 1988 à 127 ha en 2010[58]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Cesson, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Cesson entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[58],[Note 15]
Nombre d’exploitations (u) 3 4 2
Travail (UTA) 7 5 1
Surface agricole utilisée (ha) 388 256 254
Cultures[60]
Terres labourables (ha) 324 s s
Céréales (ha) s s s
dont blé tendre (ha) s s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[58]
Cheptel (UGBTA[Note 16]) 63 89 29

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune ne contient aucun édifice répertorié à l'inventaire des monuments historiques et un seul recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel : le parc du domaine de Saint-Leu[61].

On peut toutefois citer quelques édifices remarquables :

  • le château de Saint-Leu, au lieu-dit Saint-Leu, construit en pierre et briques ;
  • une gentilhommière est attestée sur le site au XVIIe siècle. Une chapelle, ajoutée au bâtiment en 1859, sert actuellement d’orangerie. En 1859, le domaine comporte le corps principal du château flanqué de deux corps latéraux, des communs, des écuries, un lavoir, un jardin fruitier, un potager, des prairies, le canal du Balory avec pont, un étang, des bois, une maison de garde-chasse et une ferme seigneuriale. Le château est détruit en 1881, et vendu en 1886 à la famille Piollet. Le site comportait une ferme seigneuriale, bâtie sur un ancien prieuré et remplacée par une ferme modèle en 1861[réf. nécessaire] ;
  • l'étang du Follet, au lieu-dit Saint-Leu. Au XIIe siècle, un acte de Louis VII mentionnait l’étang et le moulin banal de Saint-Leu[62]. L’étang appartient ensuite à la commanderie de Savigny-le-Temple, jusqu’au XVIIIe siècle. Le baron Jean-Baptiste Glucq de Saint-Port, qui possédait déjà le château et la ferme de Saint-Leu, devient propriétaire du moulin, qui demeure en activité jusqu’en 1876, puis est agrandi avant d’être transformé en rendez-vous de chasse et d’accueillir un élevage de gibier. Une fois le moulin désaffecté, le parc du château est réaménagé et le ru du Balory détourné[réf. nécessaire]. Actuellement[Quand ?] l’étang est une réserve ornithologique gérée par le syndicat d’agglomération nouvelle de Sénart ;
  • une maison, avenue Charles-Monier, construite en meulière, argile et tôle émaillée, sur laquelle on distingue une plaque « Le courrier ». Il s’agit d’un ancien relais de poste, construit au XIXe siècle ;
  • une maison à l'angle de la rue du Poirier-Saint et de l'avenue Charles-Monier : sa façade est décorée d’une gargouille provenant de l’ancienne église de Cesson. Cette propriété, qui a appartenu au pilote d'essais Charles Monier[réf. nécessaire], est actuellement le siège du Syndicat intercommunal de la culture (EPIC commun aux communes de Cesson et Vert-Saint-Denis) ;
  • une maison, rue Grande à Saint-Leu, construite en meulière, plâtre et pan de bois. Habitation d’habillage néo-gothique s’inspirant de l’architecture balnéaire. Parfois vendu sur catalogue, ce type d’habillage se développe parmi les bâtisses construites en bord de Seine du Mée-sur-Seine et de Seine-Port[réf. nécessaire] ;
Partie ancienne de la mairie.
  • la mairie : elle se compose de deux parties. L'ancienne mairie dont l'entrée principale était située avenue Charles-Monier, en pierres enduites, avait été installée dans l'ancienne école de filles. L’horloge est installée sur la façade en 1909. Elle a été agrandie par un bâtiment plus fonctionnel dont l'entrée est située route de Saint-Leu[réf. nécessaire] ;
  • la gare SNCF, place de la gare, construite en pierres et enduits. La gare de Cesson fait partie d’une ligne Paris-Lyon-Méditerranée en service à partir de 1849. La station de Cesson ouvre en 1855. À la suite de l’accroissement du trafic ferroviaire, la voie est doublée en 1912[réf. nécessaire] ;
  • les lacs : il s'agit d'un grand espace vert comportant des tables de tennis de table, des jeux pour les enfants, et deux étendues d'eau de quelques centaines de mètres carrés.

Patrimoine religieux

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La nouvelle église de Cesson (1936).

L'église Saint-Martin, détruite en 1836, se trouvait à l'emplacement de l'actuelle rue de l'Ancienne-Église. Il est possible de la situer assez précisément à l'aide d'une carte topographique : le prolongement en ligne droite d'un chemin de forêt encore appelé « chemin de la Messe », qui la reliait au château de Saint-Leu, chemin aujourd'hui coupé par la ligne de chemin de fer. Un fragment de cette ancienne église, une gargouille, a été incorporé dans un mur d'une ancienne villa de Cesson, au no 96 avenue Charles-Monier, bâtiment appartenant actuellement à la ville.

Une nouvelle église Saint-Martin a été bâtie en 1936, dans un tout autre quartier, proche de l'actuelle mairie.

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Françoise Anglaret, Histoires de Cesson : Mieux connaître le passé de sa commune, Le Mée-sur-Seine, Lys Editions Amatteis, , 224 p. (ISBN 2-86849-183-9).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  10. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  12. Salaire annuel au-dessus duquel se situent 90 % des salaires .
  13. Le rapport interdécile met en relation le 1er et le 9e déciles de la distribution des niveaux de vie mensuels et se calcule comme : D9 / D1.
  14. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  16. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
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  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
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Références

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Autres sources

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  61. « Parc du domaine de Saint-Leu », notice no IA77000165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. Jules Tardif, Monuments historiques, (lire en ligne), p. 300 (n°587)
    Charte en latin. L'auteur indique à tort qu'il s'agit de Saint-Leu-la-Forêt (Saint-Leu, Seine-et-Oise, canton de Montmorency).
    .
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