Culoz
Culoz (prononcé [kyloz] ou [kylo]) est une ancienne commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Culoz | |||||
Le centre de Culoz vu depuis les lacets du Grand Colombier. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ain | ||||
Arrondissement | Belley | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bugey Sud | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Code postal | 01350 | ||||
Code commune | 01138 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Culoziens, Culoziennes | ||||
Population | 2 987 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 154 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 51′ 01″ nord, 5° 46′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 226 m Max. 1 430 m |
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Superficie | 19,36 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Plateau d'Hauteville | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Culoz-Béon | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ain
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Le , elle devient commune déléguée et chef-lieu de Culoz-Béon.
Ses habitants s'appellent les Culoziens et les Culoziennes[1].
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa ville est située dans l'Ain sur la rive droite du Rhône, dans une partie aménagée et canalisée après les différentes installations hydrauliques de la Compagnie nationale du Rhône. Elle est au pied du Grand Colombier, qui termine la chaîne du Jura et se trouve à quelques kilomètres des premiers contreforts des Alpes.
La commune de Culoz compte deux hameaux : Châtel (Ain) et Landaize.
Arvière-en-Valromey | Anglefort | Serrières-en-Chautagne (Savoie) | ||
Béon Ceyzérieu |
N | Ruffieux (Savoie) Vions (Savoie) | ||
O Culoz E | ||||
S | ||||
Flaxieu | Lavours | Chanaz (Savoie) |
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 341 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 413,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierOccupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,2 %), terres arables (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), eaux continentales[Note 1] (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), zones urbanisées (5,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,3 %), zones humides intérieures (1,5 %)[8].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
modifierLes logements de Culoz sont essentiellement constitués de maisons mitoyennes dans le vieux bourg historique ainsi que dans le centre-ville actuel et de pavillons en périphérie de la ville. Culoz a la particularité d'avoir sur le territoire de sa commune un ensemble de cités SNCF (ex-Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée) datant du début des années 1930, et rassemblées sur un carré, ce qui en fait un exemple homogène et bien conservé du patrimoine urbain ouvrier du début du XXe siècle. Des bâtisses remarquables sont également présentes tel que la maison Antonin Poncet et son parc, le château de Montvéran (XIIIe siècle), la Chèvrerie (maison de campagne de Henri Dunant, fondateur de la Croix Rouge, etc.).
Voies de communication et transports
modifierVoies routières
modifierÀ l'époque des grandes routes nationales françaises, Culoz était située au carrefour de deux axes importants: La RN 92 de Valence à Genève et la RN 504 qui suivait la Cluse des Hôpitaux entre Ambérieu-en-Bugey et Ruffieux. La N 504 a ensuite été déviée à partir de Pugieu vers Belley, Yenne et Chambéry, absorbant ainsi une grande partie du trafic entre l'Europe du Nord et l'Italie par le col du Mont-Cenis puis le tunnel du Fréjus, mais évitant ainsi Culoz. Tous ces axes ont depuis été déclassés en routes départementales et présentent désormais un intérêt essentiellement local.
Pistes cyclables
modifierLa véloroute ViaRhôna - du Léman à la Méditerranée passe à proximité sur les communes de Vions et Chanaz, en Savoie. Une signalétique est en cours de réalisation à partir de la gare de Culoz pour rejoindre la Viarhôna à vélo.
Transport ferroviaire
modifierLa ville est un carrefour ferroviaire. Des TER desservent Genève, Bellegarde-sur-Valserine, Évian, Aix-les-Bains, Bourg-Saint-Maurice, Grenoble, Chambéry, Lyon (Perrache et Part-Dieu).
L'ancien vestibule de la gare de Culoz, abritant l'ancien point frontière avec le royaume de Piémont-Sardaigne de 1815 à 1860, soit les façades et toitures du bâtiment, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [9].
Transports en commun
modifierCette petite commune ne possède pas de réseau de transports en commun, mais est desservie par des cars départementaux.
Toponymie
modifierSelon Vurpas & Michel[10] Culoz viendrait du « latin culus « fond », d’où « vallée étroite » (Cullo, 1135) dont la forme ancienne indique que le mot est accentué sur le u et non sur le o final qui ne doit pas se prononcer ». Dans sa version arpitane, le z final ne sert qu'à marquer le paroxytonisme et ne devrait pas être prononcé ; dans sa langue d'origine, il s'écrit Culo. La carte de Cassini indique Culoz sous deux graphies rendant compte de la prononciation du nom de la ville à l'époque : Culoz ou Culles[11].
Toutefois, cette origine ne fait pas l'unanimité ; selon des érudits de l'histoire locale, Culoz viendrait du bas-latin terra culata, « terre éboulée », la ville étant construite sur les éboulis de la montagne, le Grand Colombier[12].
Histoire
modifierÀ la suite de l'arrêté préfectoral du [13] portant création de la commune nouvelle de Culoz-Béon, Culoz devient une commune déléguée au .
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Culoz est membre de la communauté de communes Bugey Sud, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belley. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Belley, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[15]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Plateau d'Hauteville pour l'élection des conseilleres départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[15], et de la troisième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[16].
Administration municipale
modifierListe des maires
modifierListe de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de la commune :
Intercommunalité
modifierLa commune fait partie du syndicat mixte du bassin versant du Séran.
Jumelages
modifierDepuis 2013, la République de Montmartre est jumelée avec Culoz. Ce jumelage s'est construit autour du destin des frères Serpollet originaires de Culoz qui installèrent leur usine de construction automobile à Montmartre[18],[19].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2020, la commune comptait 2 987 habitants[Note 2], en évolution de −1,39 % par rapport à 2014 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
modifierSports et loisirs
modifierTous les sports (ou presque) sont représentés à Culoz (exemple : le tennis club de Culoz, le basket féminin et masculin, le foot, le tennis, l'athlétisme, etc.). La plupart s'entrainent à la base de loisirs du Colombier, qui comprend plusieurs terrains extérieurs et le gymnase Jean-Falconnier (1 000 m2 de surface sportive pour 458 places en tribunes). Les 14 et 15 mai 2016, le Culoz Basket Club organise dans le gymnase les finales des Championnats de France de basket-ball en catégorie U18 féminines[24]. La commune accueillit une arrivée d'étape du Tour de France 2016 le 17 juillet.
Espaces verts et fleurissement
modifierEn 2014, la commune de Culoz bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[25].
Tour de France
modifierCuloz est ville d'arrivée de la Grande Boucle le dimanche 17 juillet 2016 lors de la 15e étape Bourg-en-Bresse - Culoz.
Économie
modifierEntreprises de l'agglomération
modifierLe siège social de la Compagnie industrielle d'applications thermiques (CIAT) est situé à Culoz. Cette entreprise est le principal employeur de la ville et de ses environs.
La ville abrite également une entreprise de démolition ferroviaire dotée d'un procédé spécifique afin de récupérer et recycler les matériaux, une entreprise de chaudronnerie inox acier ainsi qu'un tissu artisanal dense.
Culture et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le château de Montvéran inscrit au titre des monuments historiques depuis 1946[26]. Le château aurait été bâti en 1316 par le chevalier Pierre de Luyrieux[27]. Le compositeur russe Prokofiev (1891-1953) y séjourna.
- Le Clos Poncet, classé « Jardin de France », garde le souvenir de Gertrude Stein, en mémoire de l'écrivain américaine qui y séjourna durant la Seconde Guerre mondiale.
- Vestiges du château fort dit « Châtel-d'en-Haut » ou « Château des Sarrazins », au nord-est[28].
- La Chèvrerie, résidence d'Henri Dunant.
- La gare de Culoz d'architecture sarde (gare frontière avant le rattachement de la Savoie à la France en 1860) est classée comme monument historique. La vétusté des lieux a motivé un arrêté de péril à l'automne 2008 et conduit à la déconstruction de la grande halle sarde de la gare. Le bâtiment d'accueil de la gare a été réhabilité en conservant cette architecture industrielle sarde du XIXe siècle.
- Église Saint-Martin.
- Pont de La Loi, pont routier, franchissant le Rhône.
- Viaduc de Culoz, pont ferroviaire de la ligne de Culoz à Modane (frontière), franchissant le Rhône.
Patrimoine naturel
modifierLa pierre Lévanaz (« Lève le nez ») est un bloc erratique d'origine glaciaire, sur le Mont Jugean.
Personnalités liées à la commune
modifier- Henry Dunant, fondateur de la Croix-Rouge, naturalisé français à Culoz.
- Les frères Léon et Henri Serpollet, précurseurs de l'automobile, nés à Culoz. Ils ont inventé le principe du générateur à vaporisation instantanée. Henri et Léon décident de fabriquer une machine à vapeur pour mécaniser la scie de leur père. Ils remplacent la chaudière par une pompe injectant de l'eau entre des surfaces lisses chauffées et espacées de 0,1 millimètre. L'eau se vaporise instantanément et est envoyée dans un cylindre pour mouvoir un piston. En 1888, Léon effectue des essais à 30 km/h sur un tricycle à moteur à vaporisation instantanée. L'année suivante, ce tricycle est amélioré : le Phaéton est une véritable voiture. Léon Serpollet parcourt la distance Paris-Lyon en dix jours.
- Antonin Poncet, chirurgien, né le à Saint-Trivier-sur-Moignans et décédé le à Culoz.
- Gertrude Stein, poétesse américaine, réfugiée en 1942 dans la demeure nommée « Le Colombier » avec sa compagne Alice B. Toklas grâce à la baronne Pierlot, proche de Paul Claudel et que le maire Justin Rey s'engagea à protéger.
- Antoine Riboud (né à Lyon le et mort à Paris le ) est un homme d'affaires français, fondateur et président de Danone. Inhumé à Culoz, il fut propriétaire du domaine du Cellier de Bel-Air, vignoble de 6 hectares s'étendant au pied du Grand Colombier.
- Christophe Lemaitre, sprinteur de l'équipe de France d'athlétisme, né le à Annecy. Il est champion du monde du 200 mètres junior et champion d'Europe junior du 100 mètres, ainsi que recordman de France du 100 mètres en 9,92 secondes. Le , il devient champion d'Europe du 100, du 200 et du 4 × 100 mètres. Il termine également troisième sur 200 mètres aux Jeux olympiques d'été de 2016. Un de ses surnoms est le TGV de Culoz.
- Maxime Bouet, cycliste français.
Héraldique
modifierLa commune de Culoz porte :
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Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Gentilé, sur habitants.fr
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Culoz-Béon et Valromey-sur-Séran », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Notice no PA01000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- A.-M. Vurpas et Cl. Michel, 1999, Noms de lieux de l'Ain, éd. Bonneton, Paris, 224 p, (ISBN 2-86253-246-0).
- « Géoportail », sur gouv.fr (consulté le ).
- Louis Berthelon, « Notes historiques sur Culoz aux temps anciens », Le livre d'histoire, 1954, réédité en 2005 (consulté le ).
- « Recueil des actes administratifs N°01-2022-169 : 01_Pref_Préfecture de l'Ain 01-2022-12-12-00003 ARRETE portant création de la commune nouvelle de Culoz-Béon »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), p. 45.
- « communauté de communes Bugey Sud - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Culoz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- maitron.fr.
- « La commune sera jumelée avec Montmartre ce samedi », Le Progrès, .
- « Le jumelage avec la République de Montmartre dignement fêté », Le Progrès, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- émission Music mag de Radio Aix-les-Bains (12/05/16)
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- Notice no PA00116390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 24 (cf. Montverand).
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 20 (cf. Culoz).
- Armes de Culoz, sur labanquedublason2.com
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :