10e régiment de dragons (France)
10e régiment de dragons | |
Insigne régimentaire du 10e régiment de Dragons. | |
Création | 1674 |
---|---|
Dissolution | 1962 |
Pays | France |
Branche | armée de terre |
Type | régiment de dragons |
Rôle | cavalerie |
Ancienne dénomination | • Tessé Dragons • Mestre de Camp Général |
Devise | Victoria pinget |
Inscriptions sur l’emblème |
Valmy 1792 Fleurus 1794 Austerlitz 1805 Eylau 1807 Friedland 1807 Artois 1914 Le Matz 1918 AFN 1952-1962 |
Guerres | Première Guerre mondiale guerre d'Algérie |
Décorations | Croix de guerre 1914-1918 une étoile argent |
Commandant historique | René III de Froulay, comte de Tessé |
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Le 10e régiment de dragons (ou 10e RD), est une unité de cavalerie de l'armée française, créée sous la Révolution à partir du régiment Mestre de Camp Général dragons, un régiment de cavalerie français d'Ancien Régime et dissoute en 1962.
Création et différentes dénominations
[modifier | modifier le code]Le Tessé Dragons est levé par René III de Froulay, comte de Tessé[1] le .
Ayant acheté au comte de Quincé[2] une charge « caponne » (non effective) de général des carabins[3], dont le camp se trouvait à Collière en Saint-Front (Orne), le comte de Tessé obtient du roi, le [4], qu'il en fasse une charge de mestre de camp général des dragons[5], charge attribuant un régiment particulier. Le Tessé Dragons devient donc le Mestre de Camp Général. La plupart des sources donnent 1685 comme année de changement de nom[6]. Quelques-unes donnent 1684[7], c'est-à-dire l'année à la fin de laquelle le roi crée la charge.
Lors de la Révolution, le règlement du stipule que les régiments ne seront plus désignés que par le numéro de leur rang de création. Le régiment Mestre de camp Général, classé deuxième de l'arme (après le Colonel Général), rétrograde au dixième rang. Il devient le 10e régiment de dragons[8].
Sous l'Empire, le , le 10e régiment de dragons est dissous. Il devient le 5e régiment de chevau-légers lanciers.
Le , Louis XVIII dissout l'armée impériale, sans solde. Le 21 novembre, le 5e régiment de chevau-légers lanciers est licencié[9]. En 1816, une armée royale est créée. On donne aux régiments des noms de département. Le 10e régiment de dragons devient le Dragons de la Seine.
Sous Charles X, en 1825, le Dragons de la Seine est dissous. Il forme alors le 10e régiment de cuirassiers, tandis que le 22e régiment de chasseurs à cheval, dit de la Vendée, fournit les effectifs d'un nouveau 10e régiment de dragons[10].
En 1939, le 10e régiment de dragons est dissous. Il se répartit, et donne naissance à cinq groupes de reconnaissance.
Le 10e régiment de dragons est reformé le , dissous le , reformé le et dissous le [11].
Chefs de corps
[modifier | modifier le code]Mestres de camp généraux
[modifier | modifier le code]- 1674. René de Froulay de Tessé. À la création, le major est Philibert-Emmanuel de Froulay, dit le chevalier de Tessé, frère cadet du comte[12].
- 1691. Louis, comte de Mailly.
- . Antoine V de Gramont.
- . Gabriel-Étienne-Louis Texier, marquis d'Hautefeuille[13].
- . Charles Louis Auguste Fouquet de Belle-Isle[14].
- [15]. Marie-Charles-Louis d'Albert, duc de Luynes, duc de Chevreuse.
- . François Henri de Franquetot de Coigny[16].
- Octobre 1771. Louis-Joseph-Charles-Amable d'Albert de Luynes.
- En 1789, François-Marie-Casimir de Franquetot, marquis de Coigny[17].
Colonels, chefs de brigade et chefs d'escadrons
[modifier | modifier le code]- 1791 : colonel Joseph-Mercure d'Estresses.
- 1792 : colonel Joachim Joseph Neuilly.
- 1792 : colonel Jean-Louis de La Roque (*).
- 1793 : chef de brigade Antoine-François Pierson.
- 1795 : chef de brigade Jean-Baptiste Godard.
- 1800 : chef de brigade Jacques-Marie de Cavaignac (**).
- 1806 : colonel Jean-Baptiste Dommanget (*)[6].
- 1811 : colonel François Félicité Chabert. Balzac l’a connu, mais il ne semble pas s’être inspiré de lui pour son Colonel Chabert[18].
- 1814 : colonel Louis Claude Chaillot (*)[19][réf. à confirmer].
- 1817 : colonel Antoine Brincard (*)
- 1888 : colonel Jacques de Ganay (*)[20].
- 1890 : colonel Jean-Rémond de Butler
- 1907 : Colonel Billet.
- 1914 : Colonel Jochaud du Plessix. Mort pour la France en 1917.
- 1917 : Colonel Menu du Mesnil.
- : L'état-major du régiment est supprimé : départ du colonel Menu du Mesnil. Jusqu’à janvier 1919, le régiment est partagé en deux groupes de deux escadrons chacun.
- : Colonel Devanlay[21].
- 1925 : Colonel Albert Guény (1873-1946)[22]
- 1932 : Colonel Guy Froidefond des Farges (1876-1935)[23]
- 1934-1938 : Colonel Jean de Bouglon (1879-1940)[24]
- 1956 : Lieutenant-colonel Viard.
- 1960 : Lieutenant-colonel d'Achon.
- 1961 : Chef d'escadrons Issaverdens.
- 1961 : Lieutenant-colonel Rostain.
- 1961 : Chef d'escadrons Bouland.
- 1961 : Chef d'escadrons Henriot.
- 1962 : Lieutenant-colonel Perrier[25],[11].
Historique des garnisons, combats et batailles
[modifier | modifier le code]Ancien Régime
[modifier | modifier le code]À partir d'août 1674 et jusqu'au début de 1675, le régiment sert en Roussillon dans les troupes aux ordres du comte de Schomberg[26]. En , il s'apprête à embarquer pour l'expédition de Messine, lorsqu'il est appelé pour réprimer la révolte du papier timbré, d'abord en Guyenne[27] ; puis en Bretagne (il débarque au Port-Louis à la fin du mois d’août[28]) ; enfin à Bordeaux, du 17 novembre au 31 décembre[29].
Après la révocation de l’édit de Nantes (1685), près de 12 000 protestants trouvent refuge dans la principauté d'Orange[30] : dès 1685, le Mestre de Camp Général est appelé à y opérer des « conversions militaires[31] ». Il semble être resté occupé à cette tâche jusqu'à la fin 1687[32].
Durant la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697), le comte de Tessé se montre « l’implacable exécuteur[4] » des ordres de Louvois concernant le second ravage du Palatinat. Le régiment combat avec Catinat à la bataille d’Avigliana le [33], à celle de Staffarda le 18 août de la même année[21] et à celle de La Marsaille, le [34].
Il combat dans la guerre de Succession d'Espagne (1701-1713). Le , il est à la bataille de Höchstädt[21].
Il combat dans la guerre de Succession de Pologne (1733-1735).
Durant la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748), il participe en 1741 à l’invasion de la Bohême. Le , il est à la bataille de Dettingen. Il participe à la campagne dans les Pays-Bas autrichiens (1744-1748). Il est à la bataille de Fontenoy, le [21].
Durant la guerre de Sept Ans (1756-1763)[11], la charge de mestre de camp général appartient à François Henri de Franquetot, duc de Coigny, âgé de dix-neuf ans au début du conflit. Le commandement effectif du régiment est assuré durant cette guerre :
- jusqu’au , par Gabriel Augustin de Franquetot, comte de Coigny, colonel-lieutenant ;
- à partir du , par Jean Charles, marquis de Ville, colonel-lieutenant[7].
Le Mestre de Camp Général combat le à Hastenbeck et le à Krefeld[7].
Guerres de la Révolution et de l’Empire
[modifier | modifier le code]Campagnes
[modifier | modifier le code]- 1792-1794. Armées du Nord et des Ardennes.
- 1794. Armée de Sambre-et-Meuse.
- 1795-1797. Armée de Rhin-et-Moselle.
- 1799. Invasion anglo-russe de la Hollande.
- 1800-1801. Armée des Grisons.
- 1802. Expédition de Saint-Domingue.
- 1805-1807. Grande Armée.
- 1806-1807. Campagne de Prusse et de Pologne.
- 1809-1811. Campagne d’Espagne[11].
Batailles
[modifier | modifier le code]- 1792
- 1793
- 1794
- 1795
- 1796
- 1799
- 1800
- Passage du col du Splügen.
- 1805 :
- 1806 : Campagne de Prusse et de Pologne
- Le régiment ne participe pas à la bataille d'Iéna, mais il est engagé dans la poursuite des Prussiens, puis dans les combats de Boitzenburg et de Prentzlow.
- 1807 :
- 8 février : Bataille d'Eylau sous les ordres du colonel Dommanget, le régiment participe à la plus grande charge de cavalerie de tous les temps[35][réf. à confirmer] (10 000 à 12 000 cavaliers), conduite par Murat.
- Bataille de Friedland.
- 1809
- 1810
- 1811
De 1815 à 1914
[modifier | modifier le code]- 1832. Belgique.
- 1870-1871. France.
- 1904-1914. Montauban (Tarn-et-Garonne)[36], Quartier Doumerc. L'avenue qui y conduit porte le nom du "10e Dragons" [37]
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]1914
[modifier | modifier le code]- Montauban (Tarn-et-Garonne)[38], Quartier Doumerc.
Lorraine
[modifier | modifier le code]- 23 août. Gerbéviller.
- 25 et 26 août. Rozelieures[35].
- 4 septembre Saint-Barthélémy.
- 9 septembre. Château-Thierry[21].
- 12 septembre. Fismes.
- 13 septembre. Sud de Craonne.
- 23 septembre. Chaulnes, Péronne.
- 24 septembre. Dompierre.
- 27 septembre. Miraumont.
- 1er novembre. Dranouter.
- 7 novembre. Messines (à pied)[35].
1915 et 1916
[modifier | modifier le code]Arrivé en Alsace en , le 10e régiment de dragons va y rester jusqu’en mai 1916 : secteur d’Aspach, puis de Michelbach, de Burnhaupt[39], de Balschwiller, de Fulleren et de Pfetterhouse[21].
1917
[modifier | modifier le code]-. Les Cavaliers de Courcy (à pied).
1918
[modifier | modifier le code]- -. Combats des Monts des Flandres.
- -. Bataille de l’Aisne : combats des bords de la rivière Matz[35].
Entre-deux-guerres
[modifier | modifier le code]- 1918-1936 Montauban (Tarn-et-Garonne), quartier Doumerc.
- 1936-1939 Orange (Vaucluse)
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le Groupement de Cavalerie est destiné à former à la mobilisation des Groupes de Reconnaissance. Aussi, dès la déclaration de guerre, le 10e régiment de dragons disparaît-il en tant que tel pour se répartir, et donner naissance à cinq groupes de reconnaissance :
- 21e groupe de reconnaissance de corps d'armée (21e GRCA)
- 5e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (5e GRDI)
- 26e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (26e GRDI)
- 34e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (34e GRDI)
- 72e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (72e GRDI)
Recréé à Orange[35] le , le 10e régiment de dragons est dissous le [40].
De 1945 à 2002
[modifier | modifier le code]- . Secteur côtier, à l’ouest d’Aïn Témouchent.
- . Région de Rio Salado.
- À partir du . Opérations à Saïda, Aflou, Béni Saf, Méchria, Rouïba.
- au . Opérations à Tiaret, Frenda, Aflou, Trezel, Aïn Kermes, Laghouat, Djelfa, Maghnia.
- Dissolution en 1962.
- L'étendard et les traditions du 10e Régiment de dragons sont conservés par le Centre mobilisateur no 10 de Lannemezan (65 300) de 1990 à 2002, date de sa propre dissolution.
Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment
[modifier | modifier le code]- , Jemmapes. Le 10e régiment de dragons enfonce les redoutes tenues par les Austro-Hongrois.
- , Fleurus. Action déterminante.
- , Friedland. Charges[35].
- , bataille de l'Aisne : défense du Plémont et du plateau Saint-Claude. Une page d’honneur est notamment écrite par le lieutenant d’Allens et par ses vingt dragons du 3e escadron[21].
Étendard
[modifier | modifier le code]Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[41],[42].
- Valmy 1792
- Fleurus 1794
- Austerlitz 1805
- Eylau 1807
- Friedland 1807
- Artois 1914
- Le Matz 1918
- AFN 1952-1962
Traditions et uniformes
[modifier | modifier le code]Habillement, équipement et armement des régiments de dragons font l’objet d’une ordonnance et d’un règlement royaux le . Par privilège, les régiments Colonel Général et Mestre de Camp Général peuvent continuer à porter à leurs housses les trophées qu'ils ont coutume d’y porter. Les couleurs affectées au Mestre de Camp Général sont : « Habit, paremens, veste & doublure rouges ; housse & chaperon rouges, bordés de noir ; bonnet & revers rouges, bordés d'un galon noir ; épaulette et cordon de sabre noirs[43]. »
L’ordonnance et le règlement royaux du apportent des modifications : « Mestre-de-camp général… Habit & veste rouges, paremens & doublure blancs, la veste aura des revers blancs, ou une patelette blanche sur la manche de la veste[44] ».
L’ordonnance d’habillement de 1786 fixe les uniformes des régiments de dragons. Le fond de l’habit est vert foncé (vert dragon). La doublure et les retroussis sont de la couleur distinctive attribuée à chaque régiment. Pour le Mestre de Camp Général : revers écarlate, parements verts, boutons jaunes, poches en travers, boutonnières en galon aurore à l’habit[45].
Insigne
[modifier | modifier le code]1938 à 1939
[modifier | modifier le code]Proposé par le colonel Desprez. Écu français moderne de fond doré. Trois étendards, un bleu, un blanc, un rouge. Un cor bleu et, sur fond bleu, une branche d’oranger portant trois fruits sont empruntés aux armes de la ville d’Orange, ville de garnison du régiment depuis 1936. Le tout est surmonté, sur fond vert (couleur de l’uniforme des dragons, de 1762 à 1868) : d’un casque d’argent en relief, portant le chiffre 10 ; de deux lances avec flamme rouge et blanc ; et de la devise Victoria pinget.
1945
[modifier | modifier le code]Écu aux armes du comte de Tessé, fondateur du régiment : croix de Saint-André « dentelée de gueules sur fond d'argent », surmontée de la devise Victoria pinget.
1956 à 1962
[modifier | modifier le code]Même insigne que celui de 1938, mais le casque y est plat et doré[46].
Devise
[modifier | modifier le code]Depuis 1684[47] (époque à laquelle le Tessé Dragons devient le Mestre de Camp Général), la devise est : Victoria pinget[8],[1] (« La victoire l’illustre »). Elle est inscrite sur les guidons du régiment Mestre de Camp Général.
Personnalités ayant servi dans le régiment
[modifier | modifier le code]- René de Froulay de Tessé (1648-1725), Maréchal de France, fondateur du régiment ;
- Antoine V de Gramont (1671-1725), Maréchal de France ;
- Charles Louis Auguste Fouquet de Belle-Isle (1684-1761), Maréchal de France ;
- François Henri de Franquetot de Coigny (1737-1821), Maréchal de France ;
- Jean-Baptiste Dommanget (1769-1848), général français[6] ;
- Justin Laffite (1772-1832), général français[48] ;
- Jacques-Marie Cavaignac de Baragne (1773-1855), général français[49],[50] ;
- Alexandre d'Alton (1776-1859), général français ;
- Athanase Clément de Ris (1782-1837), colonel français ;
- François Joseph Marie Clary (1786-1841), général français ;
- Pierre Delsol (1909-1987), officier français, Compagnon de la Libération.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Arnaud Bunel, « Régiment Mestre de camp Général Dragons », sur drapeaux.org.
- Tessé achète la charge pour 40 000 livres à Louis de Quincé (fils de Joachim de Quincé, mort à Madrid en 1659), comte du Saint-Empire romain germanique, mestre de camp, général des carabins, gouverneur de la ville de Domfront.
- Les carabins sont des cavaliers armés d'une carabine. « Les armes de la cavalerie », sur invalides.org. Sous Louis XIII, les compagnies de carabins sont retirées des régiments de cavalerie légère pour former des régiments. Mais le général des carabins dépend du colonel général de la cavalerie. Sa charge équivaut donc à une charge de mestre de camp général. On trouve encore des carabins en 1665. La charge subsiste un temps après leur suppression. Guillaume Le Blond, « Cavalerie », sur alembert.fr.
- Dr Hoefer (dir.), Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu’à 1850-1860, Firmin Didot, 1864, t. XLIII, col. 1034.
- Saint-Simon, Mémoires, coll. « Bibliothèque de La Pléiade », Gallimard, 1953, t. I, p. 305 et 306.
- (en) « 10e régiment de dragons », sur napoleon-series.org.
- Jean Vial, « Mestre de Camp Général de dragons », sur vial.jean.free.fr.
- « 10e régiment de dragons », sur 1789-1815.com.
- Frédéric Pouvesle, « 5e régiment de chevau-légers lanciers », sur empire.histofig.com.
- Historique 1920, « Avant-propos ».
- « 10e régiment de dragons », sur cavaliers.blindes.free.
- Le comte de Tessé procurera un régiment à son frère le : le Bursard Dragons, qui deviendra plus tard le 20e régiment de dragons. Treuttel et Würtz, notes de Mémoires et Lettres du maréchal de Tessé, Paris, Strasbourg, Treuttel et Würtz, 1806, t. I, p. 5 et 8.
- Saint-Simon, op. cit., t. II, p. 178 et 179.
- « Charles-Louis-Auguste Fouquet, Maréchal de Belle-Isle », sur soreze.com.
- « Charles-Louis-Auguste Fouquet », sur marcmaison.fr.
- « Marie François Henri, duc de Coigny de Franquetot », sur gw4.geneanet.org.
- « Dragons », sur napoleon-series.org.
- Robert Ouvrard, « En marge de la bataille d'Eylau : mais qui était donc le colonel Chabert ? ».
- Jean-Pierre Bibet, « Chaillot (Louis-Claude) », sur lesapn.forumactif.fr.
- « Cote LH//1066/47 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- Historique 1920.
- saint-cyrien de la promotion du Siam 1892-94, général de Brigade, breveté d’état-major, commandeur de la Légion d’honneur, officier des Palmes académiques, croix de guerre 14-18 (avec palme)http://leg.hon.beaujolais.free.fr/doc/albert_gueny.pdf
- Saint-cyrien de la promotion de Bourbaki 1897-99, officier de la Légion d’honneur, croix de guerre 14-18 (3 citations, dont 2 palmes) Base Leonore
- saint-cyrien de la promotion d’In Salah 1899-01, commandeur de la Légion d’honneur, croix de guerre 14-18 (9 citations dont 4 palmes), croix de guerre 39-40 (1 palme), tué à l’ennemi Bouglon, Rantzau, Mecquenem, Meckenheim au XIXe siècle et Mémoire des Hommes
- Lieutenant-colonel Claude Aïcardi, « Fiche Algérie 1954-1964 du 10e Dragons », sur cavaliers.blindes.free.fr
- Treuttel et Würtz, op. cit., t. I, p. 5.
- Émile Laloy, La Révolte de Messine : l'expédition de Sicile et la politique française en Italie (1674-1678), Klincksieck, 1929, t. II, p. 48.
- Yvon Garlan, Claude Nières, Les Révoltes bretonnes de 1675 : papier timbré et bonnets rouges, coll. « Problèmes/Histoire », Éditions sociales, 1975, p. 153 et 154.
- Archives historiques de la Gironde, 1906, t. 41. p. 256.
- Rémy Porte, « L’héritage de la principauté d’Orange : enjeu entre le protecteur des Provinces-Unies et le roi de France », sur rha.revues.org, Revue historique des armées, n° 253, novembre 2008.
- Dr Hoefer, op. cit., t. XLIII, col. 1034 et 1035.
- Treuttel et Würtz, op. cit., t. I, p. 13.
- André Le Glay, introduction aux Lettres du maréchal de Tessé au prince Antoine Ier de Monaco, coll. « Mémoires et documents historiques », Imprimerie de Monaco, 1917, p. xx.
- Claude Larronde, « Les Officiers vicquois sous le règne de Louis XIV », sur claude.larronde.pagesperso-orange.fr.
- Lieutenant-colonel Henri Azema, « Historique succinct du 10e régiment de dragons », sur cavaliers.blindes.free.fr
- Carte militaire de la France en 1904 http://combattant.14-18.pagesperso-orange.fr/Pasapas/E311a1904a.html#1
- Google maps https://www.google.fr/maps/@44.0228903,1.3457194,19.29z
- Composition de l'Armée française en 1914 http://www.fortiffsere.fr/armee1914/index_fichiers/Page1892.htm#cavalerie
- Burnhaupt-le-Haut et Burnhaupt-le-Bas sont deux localités distantes d'1,5 km.
- Inventaire des archives de la Guerre : Sous-série 12P, Petites unités, Château de Vincennes, Service historique de l'Armée de terre, (lire en ligne), p. 107.
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
- Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, , (A) NORDEF0452926A, Michèle Alliot-Marie.
- « Ordonnance du Roy concernant l'habillement, l'équipement & l'armement de ses régimens de Dragons », sur praetiritifides.chez.com.
- « Ordonnance du Roy, Concernant l'Habillement de ses régimens de Dragons. Du 9 avril 1757 », sur genealogie.over-blog.com/.
- « Dragons 1789 », sur 1789-1815.com.
- « Insignes du 10° Régiment de Dragons » (consulté le ).
- « Les devises militaires françaises », sur armees.com.
- A. Robert, G. Cougny, « M. Justin Laffite », sur lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com, Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, Bourloton, 1889-1891.
- (en) « 10e régiment de dragons », sur napoleon-series.org
- « Cavaignac Jacques Marie, général vicomte de Baragne (1773-1855) », sur appl-lachaise.net.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Historique du 10me régiment de dragons : résumé pendant les cinq campagnes contre l'Allemagne 1914-1918, édition abrégée, Montauban, Forestié, , 55 p., lire en ligne sur Gallica.
- Charles d'Ollone, Historique du 10e régiment de dragons, Berger-Levrault, , lire en ligne sur Gallica.
Liens externes
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